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La bataille d'Angleterre

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Le 22/11/2002

Adversaires : Seb (Anglais Guerre de cent ans) contre Hervé (Early Byzantine)

Par une douce matinée d'automne, les forces expéditionnaires Byzantines du général Bélissaire décidèrent d'envahir l'Angleterre. Afin de faciliter les manœuvres de ses cavaliers, le général décida de se déployer dans un terrain dégagé. L'Anglais, conscient de son infériorité numérique place plusieurs collines difficiles dont une placée sur son centre gauche jouera un rôle important dans la bataille.

De gauche à droite, l'armée Byzantine se déploie conformément à sa tactique maintenant bien rôdée. Au centre le corps de Bélisaire et ses mercenaires Hérules (Irr Kn F) accompagnés de féroces Ps (S) Isauriens bien décidés à prendre d'assaut la colline ennemie. De chaque côté, les deux colonnes de Cv(S) menées par les généraux en second. Un peu en retrait les Skoutatos (Bd I) se tiennent prêt à intervenir. Devant tous le dispositif, les 18 LH byzantines s'avancent au devant de l'ennemi.

L'anglais place au centre de l'infanterie lourde Sp(O) et Bd (S) ainsi que 5 Ps (S) pour tenir la colline. Sur la gauche un petit corps avec une général Kn (O), 2 LH(O), 4 Bw(S) montés et 3 Bw(O) placés en retrait pour défendre les bagages. A droite se déploie le corps d'attaque Anglais avec 5 Kn(O), 3 Kn(S) et des Bw(S). Quelques Ax(X) augmentent le seuil de démo.

Au signal, les troupes Byzantines se ruent à l'assaut. Les Ps (S) foncent sur la colline tandis que les LH se portent au devant de l'ennemi. Celui-ci comment une erreur en avançant sa ligne de Kn au delà de la colline, mettant ainsi son flanc à découvert. De furieux combat ont lieu dans la colline entre les Isauriens et les Ps Anglais bientôt épaulés par des Bw(S).

Sur la gauche, les 6 LH byzantines avancent en ligne en repoussant les 2 pauvres LH anglaises. Le combat devient bientôt inévitable et le général anglais vient soutenir ses troupes. Il repousse deux fois une LH(S) et se retrouve avec 2 débords et meurt sur un jet de dé malheureux. Une LH anglaise le suit dans la tombe.

A droite, les généraux byzantins organisent leur attaque sur les chevaliers anglais. Les Hérules sont redéployés au centre avec de la LH en soutient. A l'extrême droite du dispositif, deux Bd (I) viennent menacer les Bw(S). Enfin sur la gauche de la ligne anglaise s'alignent 4 Cv(S). L'assaut est donné. Un général byzantin se heurte de plein fouet avec le général en chef anglais … 6 …. 1 ! Le général Byzantin est arraché de son cheval et meurt empalé ! Cependant face aux Kn (O) anglais les Hérules font des ravages. Les LH font des prises de flanc et les chevaliers anglais tombent les uns après les autres.

Au centre les 6 LH byzantines sont désorganisés par des tirs d'archers nourris et refluent en désordre. A gauche, profitant de la confusion anglaise, les 4 Cv(S) tenues en réserve entament un mouvement tournant en direction des bagages et des 3 Bw(O) anglais qui les gardent. Les Bd (I) s'avancent rapidement sur la route mais sont pris de flanc par le tir meurtrier des archers anglais. Dans la collines, les pauvres Isauriens livrés à eux même sont eux aussi pris sous le feu croisés des archers anglais mais l'un deux résiste avec acharnement.

C'est sur la droite que la décision se fera. Tous les Kn(O) anglais ont été envoyés au tapis mais les 4 Cv(S) ont été anéanties par les 3 Kn(S) anglais. Le général Bélissaire regroupe les 2 Hérules survivant et se lance à l'attaque tandis que 2 LH (S) viennent le soutenir en attaquant de flanc les anglais. Le Kn(S) succombe mais cela ne suffit pas encore. Il faudra qu'un Bd (I) aille tuer un Bw (S) anglais pour achever le corps principal de bataille Anglais. Dans le même tour, un Hérule est détruit par le CiC et cela démoralise le corps central Byzantin.

Cependant, sur l'aile gauche la charge des 4 Cv(S) a été meurtrière et a envoyée au tapis la dernière LH anglaise et un Bw(O). Un second corps anglais est détruit et c'est l'armée anglaise toute entière qui reflue.

Au final une bataille sauvage qui a finalement vu la victoire de la glorieuse armée Byzantine malgré la férocité des archers anglais.